Historien
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Denis Durand de Bousingen
journaliste et historien à Strasbourg, travaille notamment sur l’histoire de la médecine et des hôpitaux aux 19eme et 20eme siècles.
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Gabriel Braeuner
Gabriel Braeuner est historien. Né en 1948 à Strasbourg, il a été archiviste de la ville de Colmar (1971-1980), directeur des affaires culturelles (1980-1993) puis directeur général adjoint des services de la ville de Colmar (1993-2008). Chevalier des arts et lettres, il est président de l’Association des Amis de la Bibliothèque humaniste de Sélestat, vice-président de l’Académie d’Alsace et membre du comité de la Fédération des Sociétés d’histoire et d’archéologie d’Alsace, responsable des relations transfrontalières. Président du Rotary club de Sélestat 2012-2013, il est vice-président de l’Association Espoir de Colmar qui s’occupe des déshérités et personnes en difficulté. Il a été nommé, en juin 2013, membre correspondant de la Kommission für geschichtliche Landeskunde in Baden-Wurtemberg. Membre du comité du Réseau des société d’histoire du Rhin supérieur (Netzwerk der oberrheinischen Geschichtsvereine), il a organisé, en octobre 2013, le deuxième colloque d’histoire transfrontalière à la Maison de la Région de Strasbourg et s’est vu décerner, en 2014, un Bretzel d’or par l’Académie des Sciences et traditions d’Alsace pour ses contributions à l’histoire d’Alsace. Il a également été le coorganisateur du colloque » Beatus Rhenanus (1485-1547) de Sélestat et une réforme de l’Eglise : engagement et changement » qui s’est tenu à Strasbourg et à Sélestat le 5 et 6 juin 2015.
Passionné d’histoire européenne et notamment franco-allemande, il s’est spécialisé dans l’histoire du XVe-XVIe siècle ( Humanisme et Réforme), dans l’histoire culturelle de l’Alsace au XVIIIe siècle, de la période du Reichsland et de l’occupation nazie Collaborateur régulier de la revue régionale Saisons d’Alsace pour laquelle il a écrit de nombreux articles, il tient des chroniques régulières d’histoire dans les journaux DNA et AlSACE et dans la revue Espoir de l’association Espoir où il traite des questions relatives aux thèmes de « Culture et solidarité » et « Culture et marginalité ». Il est également le rédacteur de la publication de l’association des Amis d’Edmond Gerrer.
Source : http://www.histoires-alsace.com
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Jean-Louis Burtscher
Jean-Louis Burtscher est, comme ce légendaire Gaulois, tombé dedans alors qu’il explorait en culottes courtes les casemates et autres blockhaus bordant le Rhin à Strasbourg.
Ces derniers, rattrapés par l’oubli une fois la paix revenue, était encore nombreux à cette époque. Certains d’entre eux étaient encore quasiment en l’état où les soldats les avaient évacués en juin 1940. Quelques années plus tard, sa passion pour ces fortifications en fit le vice-président de l’association des Amis de la ligne Maginot d’Alsace.
Jean-Louis Burtscher est décédé en 2020
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Michel Busser
Michel Busser est enseignant retraité. Il a écrit de nombreux ouvrages d’histoire locale, et animé de nombreuses associations.
Il est l’auteur du livre L’été 1870 qui retrace, avec de très nombreuses illustrations, les premiers jours de la guerre franco-allemande et la bataille dite « de Reichshoffen ». Passionné et collectionneur, il vit sur le site même de la bataille. Cet ouvrage, fruit de nombreuses années de recherches, réunit une bonne part de sa collection personnelle.
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Jean-Michel Derex
Jean-Michel Derex est diplômé de l’Institut d’études politiques de Paris, et docteur en histoire.
Il est président du Groupe d’histoire des zones humides. Il travaille sur l’histoire de l’environnement et sur l’évolution des paysages français. Il s’est spécialisé dans les questions sylvicoles et hydrologiques.
Spécialisé dans l’histoire de l’environnement et des relations de l’homme à la nature, il a récemment publié une histoire des forêts et une histoire des zoos parisiens :
La Mémoire des forêts. A la découverte des traces de l’activité humaine en forêt à travers les siècles (Paris, Éditions Ulmer, 2013),
Les Zoos de Paris. Histoire de la ménagerie du Jardin des Plantes, du Jardin d’acclimatation et du zoo de Vincennes, Prahecq (éditions Patrimoines et Médias, 2012).Il est également l’auteur de nombreux livres consacrés à l’histoire de l’environnement dont :
Le Grenier de Paris, histoire de la Brie, du Multien et de la Goële (1978),
Histoire de l’eau et des zones humides en Brie du milieu du XVIIIe siècle à la fin du XIXe siècle,
Histoire du bois de Boulogne, le bois du roi et la promenade mondaine de Paris (1997),
Histoire du bois de Vincennes, la forêt du roi et le bois du peuple de Paris (1997).
La Gestion de l’eau et des zones humides en Brie, fin de l’Ancien Régime-fin du XIXe siècle, ouvrage couronné par l’Académie d’agriculture de France (2002) -
René Descombes
René Descombes a passé toute sa carrière d’ingénieur au Service de la Navigation du Rhin.
On lui doit de nombreuses contributions dans la presse spécialisée, qui reflètent ses activités professionnelles.
Co-fondateur de la "Société des Amis du Musée régional du Rhin et de la Navigation", il a aussi publié plusieurs ouvrages sur les voies navigables.
Il estle tout premier auteir publié par le Verger Éditeur, en 1988.
C’est aussi un passionné des mathématiques et la science des chiffres, et a consacré de nombreux autres ouvrages à cette passion.
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Pierre Fluck
Pierre Fluck, né le 29 octobre 1947, est un universitaire français, spécialiste de géologie de la profondeur, de métallogénie, d’histoire des techniques et d’archéologie industrielle (Moyen-âge - xxe siècle).
Membre de l’Institut universitaire de France, il est professeur à l’université de Haute-Alsace, où il fonde en 1993 le Centre de recherche sur les économies, les sociétés, les arts et les techniques (CRESAT).
Il est l’auteur de plus de 400 publications scientifiques, dont une vingtaine d’ouvrages sur la géologie, la minéralogie, la gîtologie, l’archéologie et le patrimoine industriel. En 1975, il crée avec G. Lagarde une revue sous l’égide du CAES du CNRS qui deviendra plus tard les Éditions du Patrimoine minier.
Il est à l’origine de la bibliothèque de la Fédération Patrimoine minier, qui regroupe plus de 8 000 ouvrages spécialisés. Il est membre de l’Académie des sciences, lettres et arts d’Alsace et a été lauréat de Fond’Action Alsace.
Baryton à ses heures, il aime interpréter des Lieder, des airs d’opéra ou d’oratorios.
La Commission internationale des noms et nouveaux noms de minéraux nomme en son honneur, en 1978, un arséniate de calcium et de manganèse découvert pour la première fois à Sainte-Marie-aux-Mines : la fluckite.
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Florent Grange
Né en 1962 à Strasbourg, médecin dermatologue et épidémiologiste, Florent Grange a étudié la médecine à Paris, puis l’épidémiologie à Strasbourg et Nancy.
Il a exercé successivement en région parisienne, en Martinique, puis pendant onze ans en Alsace, au centre hospitalier de Colmar.
Il est actuellement professeur des universités, praticien hospitalier au centre hospitalier universitaire de Reims.
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Bertrand Jost
Bertrand Jost est historien et généalogiste. Originaire d’Alsace, il vit et travaille aux États-Unis.
Présentation de l’auteur par lui-même :
« J’ai grandi dans la région de Strasbourg entre l’école en ville et les vacances passées à la campagne dans le petit village de 200 habitants des grand-parents. Après des études d’ingénieur effectuées à Paris, je quitte la France en 1991 pour les États-Unis. Je passe deux années dans une université du Texas près de Dallas où j’obtiens un « Master of Science » en Astronautique dont la thèse de recherche est financée par la NASA. En 1993, je déménage à New York où je me reconvertis dans la finance. A partir de 2002, je me spécialise dans l’analyse financière des « Hedge Funds » ou fonds spéculatifs, domaine en pleine croissance dans la finance américaine.
Ces trois décennies passées à l’étranger ont changé fondamentalement la relation que j’avais avec mes racines, mon pays et ma région d’origine. À partir de 1998, une nostalgie d’abord inconsciente puis assumée envers l’Alsace rêvée et non pas réelle ont nourri sans relâche un besoin d’écriture, un désir de raconter qui l’on est à partir de ceux d’où l’on vient, car en Amérique, celui qui ne protège pas son passé devient vite un amnésique, englouti vers un futur toujours plus envahissant. Dominique de Villepin, fils d’expatrié, a dit un jour : « La France, je l’ai aimée avant de la connaître. » Bertrand Jost pourrait dire : « L’Alsace heureuse, j’ai du la quitter pour pouvoir l’aimer. »
Je suis marié à une new-yorkaise, Elizabeth, qui m’a donné trois enfants, Guillaume, Sophie et Marius. La famille habite dans la banlieue de New-York. »
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Yann Kervran
Ancien rédacteur en chef de magazines historiques (Histoire Médiévale, Histoire Antique, L’Art de la Guerre...), Yann Kervran se consacre désormais à la direction de collections d’ouvrages et à l’écriture.
Photographe et reconstitueur acharné depuis la fin de ses études universitaires, il trouve dans ces passions l’occasion de concilier son goût pour la recherche et son intérêt pour la mise en pratique et en scène de savoirs théoriques.
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Jean-Louis Marteil
Jean-Louis Marteil est immédiatement attachant. L’homme, d’abord, paré de son bel accent du Sud-Ouest et de sa gouaille joyeuse, pose sur vous un œil vif et prévenant, de bon augure. L’écrivain, lui, confirme très vite ce qu’on avait perçu dans son regard : c’est un humaniste, sensible à toutes les conditions de l’homme (et de la femme), que sa pudeur enveloppe d’un humour féroce.
Sa première carrière était déjà placée sous le signe du regard. Photographe, il plaque tout à l’approche des années 2000 et fait le pari risqué de l’écriture et de l’édition. En 1999 paraît La Relique, un roman médiéval « au carrefour des Monty Python et de don Camillo », comme le dira un journaliste. L’aventure extraordinaire de ces trois moines stupidement ordinaires fera mouche, puisqu’à ce jour plus de 15000 exemplaires ont été écoulés.
Sa rencontre avec Noël Balen l’amène à entrer dans le monde de l’édition, jusqu’à devenir directeur littéraire des éditions de l’Hydre. Il fondera ensuite sa propre maison, La Louve éditions. Il continue à publier : La Relique aura deux suites, puis viennent le cycle Et Dieu reconnaîtra les siens, puis la chair de la Salamandre… tous des romans médiévaux solidement documentés et bâtis sur une matière humaine frémissante, couronnés entre autres par le prix Mémoires d’Oc.
Il écrit également pour le théâtre. Sa pièce Et Dieu reconnaîtra les siens est jouée 35 fois en extérieur, dans les sites les plus prestigieux du « pays cathare », après avoir été créée sur France Culture. Des scénarios pour le cinéma ont également été tirés de son travail.
Ses valeurs humaines et son goût de l’histoire se traduisent aussi par des textes plus sombres. Le petit livre Oradour sur Glane aux larmes de pierre, condensé d’émotions, est aussi un hommage à son père, adolescent pendant la guerre, et décédé avant la parution de l’ouvrage. Amené de nombreuses fois à intervenir dans des classes au sujet de ce texte, Jean-Louis Marteil rappelle : « Ce livre est la seule façon que j’ai trouvée de dire à mon père que je l’aimais. Dites aux gens que vous les aimez, un jour il sera trop tard ».
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Laurent Naas
Laurent Naas est Bibliothécaire territorial, Responsable scientifique de la Bibliothèque Humaniste de Sélestat.
Outre son rôle à la Bibliothèque humaniste de Sélestat, qui abrite le fonds Beatus Rhenanus inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO, Laurent Naas a enseigné l’histoire du livre et des bibliothèques, l’essor de l’Humanisme (XIVe-fin XVIe siècle)
et la mise en valeur du patrimoine écrit.Il est membre du conseil d’administration de la Société savante d’Alsace et des Régions de l’Est, membre du comité des Amis de la Bibliothèque Humaniste, membre du conseil scientifique du château du Haut-Koenigsbourg ; membre du conseil d’administration de l’association Espace européen Gutenberg.
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Jean-Marie Schelcher
Jean-Marie Schelcher a effectué toute sa carrière dans l’éducation nationale.
D’abord enseignant à Geiswasser, jusqu’en 1983, il est ensuite devenu conseiller pédagogique. Il s’est spécialisé pendant 18 ans dans l’enseignement du dialecte alsacien et de l’allemand, participant ainsi aux débuts du bilinguisme. De 2000 à 2004 il était en poste à Wittelsheim, avant de rejoindre Guebwiller.
A ses fonctions professionnelles il ajoute une passion pour l’écriture, l’histoire, le dialecte, bien sûr, et compte déjà plusieurs livres à son actif. Une parution récente sur la correspondance entre Bartholdi et sa mère, une autre dédiée à son grand-oncle Théodore Bixel pendant la Première guerre mondiale, ainsi que plusieurs monographies et ouvrages de pédagogie.
Il a également écrit pour le théâtre, et a reçu en 1990 le prix du Conseil général pour sa biographie de François-Joseph Ritter, un révolutionnaire originaire de Huningue. Il est également le secrétaire de l’association Théodore-Deck.
Curieux de tout, Jean-Marie Schelcher se dit inspiré par l’observation du quotidien, peut-être pour de futurs romans…
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Jean-Claude Streicher
Ancien journaliste dans la presse industrielle et technologique, Jean Claude Streicher est l’auteur d’une histoire de la saline de Soultz en 3 volumes et d’une suite en 5 volumes sur les pionniers de l’or noir du Pechelbronn.
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Jean-Claude Wey
Bibliophile et historien autodidacte, Jean-Claude Wey est spécialiste du moyen-âge rhénan. Il vit à Strasbourg.
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Michel Winter
Michel Winter est agrégé d’histoire.
Pour Michel Winter, la fiction ne doit s’inscrire que dans les zones d’ombre de l’histoire, particulièrement nombreuses dans Le retable des Ardents puisque la biographie de Matthias Grünewald est quasi inexistante.
Sa volonté est de transmettre l’histoire mais aussi sa dimension critique, de mettre en œuvre une fiction totalement ancrée dans l’Histoire, une fiction raisonnée, raisonnable, crédible, qui sonne juste, juste à défaut d’être vraie.
Originaire d’Alsace, il vit aujourd’hui à Nice.